Qui est Stephix ?
33 ans, maman de trois enfants de 7 ans, 4,5 ans, et 19 mois + 1 BB en route ! Working mama en freelance après 5 ans de congé parental. Heureuse de cette expérience, d'avoir été aussi disponible pour mes petits et d'avoir enfin réalisé mon projet: allier travail et vie de famille tout en restant chez moi. Sur facebook vous me retrouverez en cherchant "les blogs de stephix", parce que j'en ai 4 et j'ai voulu les regrouper. Bonne lecture et surtout bons échanges!

Fourni par Blogger.

Le Top 8
-
Elle avait pris du temps pour récurer sa cuisinière... La tâche noire était bien trop encrée, elle ne pouvait lutter d'avantage. Elle r...
-
C'est un sujet assez tabou, et Cathy a envie d'en parler! Qu'on soit femme au foyer le temps d'un congé maternité, d&...
-
Apprentissages basiques (18 mois-5 ans) Cette liste est une sélection des meilleurs sites gratuits (e t sans inscription !) d'...
-
Cher journal, aujourd'hui je suis triste. Pourquoi? He bien parce que Najat Vallaud Belkacem a encore frappé. Elle touche mon...
-
C'est triste à dire, mais l'amitié, ça va et ça vient...y'a des hauts et des bas, des périodes avec et des périodes sans...ça...
-
et de récompenser mes fidèles lectrices (oui oui, et lecteurs aussi, même si vous n'avez en principe rien à faire là! héhéhé! Mais vous...
-
Cette info circule depuis le mois d'Août 2012. Elle fait écho à un Mémoire publié sur le site de la Société Française de Pédiatrie ...
-
Je suis une noob pour tout ce qui est manuel. Petit rappel de ma dernière merveille ici . Mais parfois j'ai des idées simples...

12.5.14
Aujourd'hui 12 mai,
nous fêtons Saint Achille, Saint Nérée, Saint Epiphane et Saint Pancrace (saint patron des enfants).
C'est la journée internationale des infirmières !
nous fêtons Saint Achille, Saint Nérée, Saint Epiphane et Saint Pancrace (saint patron des enfants).
Pancrace, un jeune chrétien de quatorze ans, martyr à Rome sous Dioclétien au même âge et à la même époque que sainte Agnès, avait comme tuteur son oncle Denis. Sa mort avait très marqué la communauté chrétienne qui ne tarda pas à lui écrire des "Actes" étonnants. Denis est mort en prison.
Mémoire de saint Pancrace, martyr à Rome, vers 304. La tradition voit en lui un adolescent mis à mort pour la foi du Christ. Le pape saint Symmaque éleva une célèbre basilique sur sa tombe et le pape saint Grégoire le Grand veilla assez souvent à y convoquer le peuple pour en retirer le témoignage du véritable amour chrétien.
Mémoire de saint Pancrace, martyr à Rome, vers 304. La tradition voit en lui un adolescent mis à mort pour la foi du Christ. Le pape saint Symmaque éleva une célèbre basilique sur sa tombe et le pape saint Grégoire le Grand veilla assez souvent à y convoquer le peuple pour en retirer le témoignage du véritable amour chrétien.
Martyrologe romain (sur nominis.fr)
C'est la journée internationale des infirmières !
Des vidéos et des mots doux pour leur rendre hommage !
Un calinou virtuel pour elles/eux :
le métier d'infirmière :
Reportage : le blues des infirmières :
Toi, l'infirmière...
Je ne te connais pas et pourtant je t'admire,
Car tu es toujours là, lorsque la vie chavire.
Ta présence discrète au cœur de l'hôpital
Fait souvent reculer la douleur et le mal.
Je ne te connais pas et pourtant je t'admire,
Car tu es toujours là, lorsque la vie chavire.
Ta présence discrète au cœur de l'hôpital
Fait souvent reculer la douleur et le mal.
Tu combats la souffrance avec persévérance
Et l'on voit de tes mains renaître l'espérance.
Que de sanglots, de cris, que de maux, de soucis
Au cœur de cet enfer par tes soins adoucis.
Et l'on voit de tes mains renaître l'espérance.
Que de sanglots, de cris, que de maux, de soucis
Au cœur de cet enfer par tes soins adoucis.
Ton royaume est bâti de râles et de larmes,
Et dans ce monde froid, tu n'as pour seules armes,
Que la force et l'espoir de ton cœur généreux,
Qui apporte la paix à tous les malheureux.
Et dans ce monde froid, tu n'as pour seules armes,
Que la force et l'espoir de ton cœur généreux,
Qui apporte la paix à tous les malheureux.
Tu es la confidente aimée des solitaires,
De tous ceux que la vie a rendu grabataires.
Tu offres ton sommeil, tu distribues ton temps,
Tu soignes, tu guéris tout en réconfortant.
De tous ceux que la vie a rendu grabataires.
Tu offres ton sommeil, tu distribues ton temps,
Tu soignes, tu guéris tout en réconfortant.
Tu es la providence au sourire angélique,
Et dans cet univers inodore, aseptique,
Tu mêles ton parfum aux nuages d'éther
En ajustant la sonde ou bien le cathéter.
Et dans cet univers inodore, aseptique,
Tu mêles ton parfum aux nuages d'éther
En ajustant la sonde ou bien le cathéter.
Lorsque la mort, hélas, se montre la plus forte,
Et que le sang glacé se fige dans l'aorte,
L'amertume et la rage envahissent ton cœur,
Qui ne supporte pas que le mal soit vainqueur.
Et que le sang glacé se fige dans l'aorte,
L'amertume et la rage envahissent ton cœur,
Qui ne supporte pas que le mal soit vainqueur.
Tu sais que la « Camarade » habite les parages,
Et qu'elle peut frapper tous les gens, tous les âges.
Et tu pleures parfois quand tombe le rideau,
Sur l'inconnu défunt qui va vers le tombeau.
Et qu'elle peut frapper tous les gens, tous les âges.
Et tu pleures parfois quand tombe le rideau,
Sur l'inconnu défunt qui va vers le tombeau.
Pourtant lorsque paraît, quand s'éloigne le pire,
Une lueur de joie, au milieu d'un sourire,
Alors modestement, tu reçois ce cadeau,
Et tu sens beaucoup moins le poids de ton fardeau.
Une lueur de joie, au milieu d'un sourire,
Alors modestement, tu reçois ce cadeau,
Et tu sens beaucoup moins le poids de ton fardeau.
Tu me pardonneras, infirmière anonyme,
Ce « Tu » si familier au milieu de la rime.
Mais je te connais bien car je t'ai vue souvent
Au cœur de l'hôpital plus sombre qu'un couvent.
Ce « Tu » si familier au milieu de la rime.
Mais je te connais bien car je t'ai vue souvent
Au cœur de l'hôpital plus sombre qu'un couvent.
Tu n'es pas une star ni même une vedette,
Pour louer ton travail, ni radio, ni gazette.
Mais laisse-moi te dire avec mes mots ici,
Ce que je ne puis taire, infirmière : Merci !
Pour louer ton travail, ni radio, ni gazette.
Mais laisse-moi te dire avec mes mots ici,
Ce que je ne puis taire, infirmière : Merci !
anonyme.
Libellés :
journée internationale des infirmières
,
témoignage
Inscription à :
Publier les commentaires
(
Atom
)
0 commentaires :
Publier un commentaire
Ici on peut tout se dire, mais dans le respect et la bienveillance. Pour rendre l'échange plus sympathique, évitons l'anonymat ! Merci !